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 SAW (skye athena warren) ♦ en cours

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Skye A. Warren
Skye A. Warren

PRETTY FACE

▌Love me or love me not : SAW (skye athena warren) ♦ en cours Tumblr_lrixlouuEx1qzjptmo1_500

▌Age : vingt-six ans
▌Occupation : en réinsertion dans la vie active
▌Statut : célibataire
▌Date d'arrivée : 12/04/2012
▌Messages : 192
▌Points : 324
▌Célébrité : candice accola
▌Double compte : Dwight Northwood

SAW (skye athena warren) ♦ en cours _
MessageSujet: SAW (skye athena warren) ♦ en cours   SAW (skye athena warren) ♦ en cours EmptyMar 13 Nov 2012 - 10:42



SKYE ATHENA WARREN

FEAT . CANDICE ACCOLA


■■ nom complet: skye athena warren ■■ âge: vingt-six ans ■■ nationalité : australienne ■■ date de naissance: 14 février ■■ statut social: célibataire ■■ métier/études: en réinsertion dans la vie active ■■ classe sociale: pauvre ■■ orientation sexuelle: hétérosexuelle ■■ avatar: Candice Accola


tell me more about you


Skye a toujours été une enfant hyperactive, toujours souriante, pleine de vie, intenable, pleine d'idées et de curiosité, elle était toujours la première à vouloir faire des bêtises ❧ Elle a souvent entraîné sa soeur dans ses histoires ❧ Mais aujourd'hui, Skye est surtout une jeune femme perdue et fragile qui va cacher sa détresse derrière ses sourires ❧ Elle va avoir du mal à comprendre ce qui l'a conduit en prison ❧ Elle est naïve et innocente, elle n'a pas connu ses années en prison et ne sait pas ce qui lui est arrivé ❧ Elle va devenir acharnée, elle va tout faire pour découvrir la vérité ❧ Son caractère va s'endurcir, elle ne se laissera plus marcher sur les pieds ❧ Sportive, elle va canaliser son énergie par le sport, elle va souvent au centre sportif pour courir, pour se défouler sur un punching-ball ❧ Elle va trouver un boulot de serveuse en attendant de savoir ce qu'elle veut faire à présent ❧ Elle est consciente d'avoir perdu cinq années de sa vie, non seulement parce qu'elle a perdu la mémoire mais aussi parce qu'elle les a passé en prison ❧ Elle est très curieuse, s'en est presque maladif ❧ Le gouvernement lui a trouvé un appartement miteux, rongé par les mites, infesté par les cafards, elle a tout juste la place pour vivre, elle dort sur un canapé qui se transforme en lit ❧ Elle va découvrir que sa famille lui a tourné le dos, ses parents ont même quitté Sydney ❧ Skye a peur de l'orage depuis qu'elle est petite ❧ Elle est une piètre cuisinière, elle se contente de réchauffer des boîtes de conserve ❧ Elle est gauchère ❧ Elle adore nager et nage très bien ❧ Elle peut courir très vite, elle est difficile à battre ❧ Elle est devenue paranoïaque et méfiante.


■■ âge: 22 ans ■■ comment avez-vous connu le forum : l'inspiration divine Wink ■■ que pensez-vous du forum: extra ■■ présence par semaine: 7j/semaine ■■ personnage inventé ou scénario: inventé ■■ code du règlement: pas besoin Cool





Dernière édition par Skye A. Warren le Dim 31 Mar 2013 - 18:59, édité 4 fois
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SAW (skye athena warren) ♦ en cours _
MessageSujet: Re: SAW (skye athena warren) ♦ en cours   SAW (skye athena warren) ♦ en cours EmptyMar 13 Nov 2012 - 10:49



tell me your story
« Mademoiselle Warren, parlez-moi de votre enfance ! » « Vraiment ? C’est aussi cliché que ça le psychologue ? Vous allez chercher les troubles de ma personnalité jusque dans mon enfance ? » « La prison de Sydney a demandé à notre cabinet de prendre en charge les anciens détenus pour un suivi psychologique précis afin d’être sûrs que nous ne relâchons pas des personnes dangereuses, nous allons donc faire ce suivi et selon ma façon de travailler, non en fonction de vos caprices ! » « Vous pensez que je suis une psychopathe en puissance ? J’ai quand même été jugée innocente, ce n’est pas comme si j’avais terminé ma peine et que… » « Votre enfance, mademoiselle Warren. » « Ouais bien sûr, dépêchons nous, c’est le gouvernement qui paye ces consultations, il ne faudrait pas qu’il débourse trop d’argent pour d’ex-taulards. » « Mademoiselle… » « Oui oui. »

« Que voulez-vous que je vous dise ? J’ai eu une enfance heureuse, mes parents m’aimaient, j’aimais mes parents, j’ai hurlé, pleuré et tapé du pied quand ma petite sœur est venue au monde, je n’en voulais pas, même si je n’avais qu’un an, je sentais qu’elle allait me gâcher la vie je suis sûre. Mais finalement, j’ai réussi à me faire à l’idée, on se ressemble beaucoup, elle est pourtant plus calme, mes parents ont voulu faire tester mon hyperactivité. J’étais tout le temps entrain de sauter, de bouger, de vouloir aller partout et j’entraînais ma sœur dans mes bêtises et je l’accusais toujours par la suite, vous croyez que ça fait de moi une tueuse de sang froid ? » « … » « Ouais, ça doit sûrement vouloir dire que je suis capable de regarder quelqu’un se faire tuer sans broncher. Mais finalement, je l’aidais toujours quand elle avait des tâches ménagères en guise de punition et je lui amenais toujours à manger lorsqu’elle était privée de repas. Mais j’étais une gamine de huit ans et je n’étais pas prête à assumer mes bêtises, ça ne fait pas de moi une psychopathe. » « Vous avez l’air d’avoir été heureuse finalement… » « J’étais couvée, choyée, j’habitais une grande maison, un immense jardin pour me défouler, j’avais une chambre de princesse et ma mère était toujours avec nous, elle ne travaillait pas et c’est elle qui nous a élevé. » « Où était votre père ? » « Au travail, tout le temps, le jour, la nuit, sans arrêt. Il passait son temps dans son empire, il avait réussi, il est à la tête d’une véritable entreprise et cela lui prenait tout son temps, il n’était jamais là, pas pour s’occuper de nous en tout cas, il délaissait même notre mère mais cela ne semblait pas vraiment la gêner, elle disait qu’il travaillait dur pour qu’on ait tout ce qu’on veut… elle a jamais comprit ce qu’on voulait, c’était la présence de notre père. Il était tout le temps froid, distant, comme s’il ne nous aimait pas vraiment, Silver et moi, comme si on était un poids pour sa réussite parce qu’il était contraint de parfois prendre des vacances, parce qu’il devait toujours prendre un peu de temps malgré tout quand notre mère jouait la carte de l’émotion. » « Vous employez souvent le pronom « nous » plutôt que « moi » « Ma sœur, elle fait partie de moi, on a toujours tout fait ensemble, j’ai redoublé une classe quand j’avais neuf ans et on s’est retrouvées ensemble, toutes les deux. On disait souvent qu’on était des fausses jumelles, elle a les yeux de notre père, j’ai ceux de notre mère. Elle a toujours été là pour moi et j’ai toujours été là pour elle, toute notre enfance, toute notre vie en réalité.

« Cette situation a donc duré jusqu’à votre adolescence ? » « On ne s’est jamais quittées, on rêvait toutes les deux de devenir stylistes, j’adore créer des vêtements, on avait un rituel, chaque semaine, on se retrouvait au centre commercial et on passait une journée entière à faire du shopping, c’est comme ça qu’on s’est rendues compte de notre passion pour la mode. On aimait passer des heures à essayer, à tester des ensembles, à créer un nouveau style. On était connues d’un magasin en particulier qui avait pour habitude d’exposer en vitrine nos meilleures trouvailles. Sans vouloir me vanter, on était aussi douée l’une que l’autre, aussi inventive et on s’est toujours promis d’ouvrir un magasin à nous plus tard, de créer nos propres vêtements, notre propre marque pour réussir dans un milieu que nous aimions particulièrement. » « Vos parents étaient d’accord avec cette ambition ? » « Pas notre père, il disait qu’on ne réussirait jamais, parce qu’on était seulement deux gamines gâtées, selon lui, on ne connaissait pas les véritables responsabilités d’une entreprise, il n’a jamais voulu partager son savoir, on a appris des tas de choses seules. Notre mère était ravie, elle nous a beaucoup soutenu, c’est elle qui a convaincu notre père de nous laisser entamer nos études de stylisme, je n’ai jamais autant aimé une personne que ma sœur vous savez, elle était ma moitié, celle qui me connaissait le mieux. » « Cela veut-il dire que l’amour n’a jamais frappé à votre porte ? » « J’ai eu des petits copains, j’ai connu un garçon à l’université, il était adorable, presque parfait à mes yeux, on était bien ensemble et on est même restés ensemble un an et demi, je crois que je l’ai aimé, en fait, je n’en sais rien… j’étais bien avec lui, c’était tout ce qui m’importait à l’époque. Je crois que je ne suis pas capable d’avoir une relation sérieuse, je n’aime pas m’engager auprès de quelqu’un, je crois que quelque chose cloche chez moi, ils finissent toujours par me quitter, comme s’il était inscrit sur mon front que je n’étais pas bonne à marier, ou quelque chose comme ça. » « Qu’est-il arrivé avec ce garçon à l’université ? » « Il détestait ma sœur parce que j’étais souvent avec elle, presque tout le temps. Il disait que j’étais trop collée à elle, je n’ai pas apprécié. Un homme qui veut m’aimer est obligé d’apprécier ma sœur, je passe trop de temps avec elle. Mais ce n’est pas ça qui m’empêche d’aimer. J’arrive à m’attacher, ce sont les hommes qui n’y parviennent pas visiblement. » « Vous en parlez avec beaucoup de détachement et pourtant, cette constatation est triste. » « Je ne vais pas en pleurer, je n’ai que vingt-six ans, j’ai encore le temps de trouver l’homme idéal, et si aucun d’entre eux ne veut de moi, j’aurais toujours le choix de trouver une femme bien qui voudra de moi. » « Vous plaisantez ? » « Bien sûr, j’ai l’impression de voir vos cheveux qui se dressent au-dessus de votre tête ! »

« Vous n’avez pas connu d’homme pour vous faire chavirer ? Nous n’avons jamais retrouvé le meurtrier de Mademoiselle X, peut-être était-il votre petit-ami ? » « Qu’est-ce que cela peut faire ? Puisque j’ai été jugée innocente ? » « Il ne semble pas y avoir le moindre point noir dans votre vie Skye, vous avez eu une enfance heureuse, lavée de tout drame, vous êtes visiblement intelligente et créative, très proche de votre sœur alors pourquoi avoir été accusée dans ce cas ? Que s’est-il passé les six mois qui ont précédé votre incarcération ? Quelque chose a changé ! » « … » « Avez-vous été victime de quelque chose ? La seule chose qui soit malheureuse dans votre histoire, c’est l’absence de votre père, vous n’avez jamais eu de réelle relation, vous pensez que vous faîtes fuir les hommes comme votre père vous a fui, peut-être que vous étiez prête à tout pour garder celui que vous jugiez comme le bon ? » « Je n’en sais rien… j’ai tout oublié, je ne me souviens de rien, la dernière chose qui me revient, c’est la Tornade, c’est les lits de camp, ma sœur que je prends dans mes bras pendant que la tempête passe et il y a une semaine, je me réveille dans une cellule, on me dit que j’ai été accusée de complicité de meurtre mais j’ignore qui est le meurtrier, je ne le connais pas, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé. Je ne savais même pas que mes parents étaient partis, je l’ai appris en fouillant la vie que j’ai depuis cinq ans, c’est dur de garder le silence pour ne pas paraître folle, c’est dur de ne pas pouvoir hurler que j’ignore pourquoi je ne me souviens pas des cinq dernières années, ces années que j’ai passé en prison, j’ignore pourquoi. Toute cette partie de ma vie est effacée, oubliée alors s’il s’est passé quelque chose, si j’ai vécu quelque chose, j’ignore ce que c’est et j’ai l’impression de devenir complètement folle à force de chercher dans ma mémoire ce qui semble ne jamais avoir existé ! »…

« Mademoiselle Warren, votre enfance s’il vous plaît ? » Je regarde ma psychologue, oui, j’aurais pu lui dire tout ce que je viens de raconter sur moi, sur ma vie, mon enfance, ma jeunesse, ce sentiment d’être perdue, cette vérité qui m’obsède mais à la place, je me lève et lui répond. « Ne perdons pas notre temps, j’ai bien plus intéressant à faire aujourd’hui, on se revoit dans une semaine. » Découvrir qui je suis devenue est bien plus important que chercher qui j’ai été, ce que cette psy ne pourra jamais comprendre.

LE REVEIL DE SKYE: « Warren ! Debout, on te demande au parloir ! »[/color] Le corps douloureux, l’esprit embrumé, j’ouvre les yeux et les referme aussitôt, aveuglée par une lumière vive. Je retente ma chance une nouvelle fois et j’émerge d’un long sommeil. Mais rapidement, mes sourcils se froncent et mon esprit calcule rapidement qu’il y a une erreur, il y a forcément une erreur. Je ne me suis pas endormie ici, j’étais chez mes parents, sur des lits de camp après la tempête, on avait trouvé refuge à la cave pour se protéger de la Tornade, je me suis endormie en tenant la main de ma petite sœur, on était serrées l’une contre l’autre. Mais cet endroit. Je regarde effarée le fin pyjama que je porte ainsi que la combinaison qui m’attend aux côtés d’un lit d’appoint plus que précaire. Un bruit métallique violent me fait sursauter et je lève les yeux. « Warren, t’as deux minutes ! » Mon cœur bat la chamade quand je comprends que la femme autoritaire attend de moi que je m’habille, sans même prendre la peine de détourner le regard. Je la regarde à travers les barreaux de la cellule dans laquelle je me trouve et mon esprit gronde, insatisfaite de ne pas comprendre ce qui lui arrive. Aucun doute, si le vêtement orange qui n’attend qu’à être porté ne réussissait pas à me mettre la puce à l’oreille, l’état de la cage dans laquelle je suis enfermée et la gardienne qui m’observe d’un œil mauvais aurait fini par me convaincre. Je suis en prison, aucun doute là-dessus. Je n’y avais jamais mis les pieds, je n’avais jamais vu le moindre prisonnier ni même un reportage sur ces endroits et pourtant, j’ai cette certitude au fond de moi. Mais l’incompréhension me gagne et mon air abasourdi doit agacer la gardienne qui tape une nouvelle fois les clés contre les barreaux en s’adressant à moi de sa voix grave. « Une minute ! » Enfin, j’émerge de ma stupeur et me lève, je me débarrasse rapidement de mes vêtements et enfile cet uniforme à la couleur douteuse.

C’est là que je peux regarder mon reflet et que je me reconnais à peine. J’ai perdu quelques kilos, de grosses cernes soulignent mes yeux, mes cheveux sont roux, je découvre même un tatouage à l’intérieur de mon poignet. Mes cheveux sont plus longs, comme si le temps s’était écoulé normalement, pas mal de temps. Je porte ma main à ma bouche en découvrant ma mine fatiguée, presque épuisée et je me détourne, comme si cela pouvait suffire à me faire oublier cette vision. Je tremble en passant la porte de ma cellule et suit la gardienne qui m’emmène dans ce qui semble être le parloir où un homme m’attend. Toujours perdue, à l’affut de la moindre information, je rejoins l’homme qu’on me désigne qui me sourit comme s’il était ravi de me voir, alors que je ne le connais pas. « Mademoiselle Warren, excellente nouvelle, votre dossier a été réétudié, ma demande a été prise en compte, vous allez être à nouveau jugée et cette fois, vous allez sortir, j’en suis sûr ! » Je regarde cet homme qui semble être mon avocat, ma langue me brûle des questions que je veux lui poser. Pourquoi suis-je en prison ? Que m’est-il arrivé ? Depuis combien de temps suis-je ici ? Que s’est-il passé depuis la Tornade ? Mais cet homme est-il digne de ma confiance, il semble être sympathique mais j’ignore ce que je peux dire ou non. J’essaye alors, une question qui me paraît neutre. « Vous savez quelque chose sur la Tornade ? » Demandais-je, incertaine. L’homme me regarde, bienveillant et j’ose un sourire à mon tour, il ne me prend pas pour une folle, il s’est bien passé quelque chose. « Vous voulez dire pour le mémorial ! Ohh je suis certain que vous pourrez assister pour commémorer les cinq ans de la catastrophe ! Il faut que je prépare ma plaidoirie pour demain, prenez vos affaire Skye, vous serez libre ! » Mais je n’entends rien, mes oreilles bourdonnent à nouveau, mon esprit marche à vivre allure. Cinq ans ? Les cinq ans de la catastrophe ? Alors voilà l’explication ? J’ai fait un bond dans le temps de cinq ans ? Mais pourquoi alors cet homme ne semble même pas affecté et qu’il semble avoir vécu des choses avec moi dont je n’ai aucun souvenir ? C’est le début d’un véritable combat pour comprendre ce qui m’est arrivé.

❧ ❧ ❧

Le lendemain, j'étais jugée innocente dans une affaire de meurtre, un choc de plus pour moi. J'ai passé les quatre dernières années en prison parce que j'ai été jugée coupable de complicité de meurtre. L'incompréhension me submerge, je retrouve ma sœur, folle de bonheur de pouvoir serrer dans mes bras un visage familier. Me voilà libre et décidée à découvrir où sont passées ces cinq dernières années.



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