Folle ; mais dans le sens où elle est bonne à enfermer, non, elle est juste folle, elle n’a peur de rien, prend de nombreux risque, fonce, pleine de vie. ~ A l’écoute ; ses amis la qualifie comme quelqu’un qui sait écouter les autres, être une bonne oreille et une bonne épaule sur laquelle pleurer. ~ Généreuse ; elle aime partager, que ce soit ses affaires, sa nourriture, que son savoir etc … ~ Elle aime la musique, elle joue très bien de la harpe, de la guitare. ~ Elle a une aile tatouée derrière l’oreille, ainsi qu’une encre de bateau sur le poignet. ~ Elle aime l’eau plus que tout, elle a grandie sur l’océan et elle en demeure très proche, ce n’est pas pour rien qu’elle a postulée à l’aquarium et qu’aujourd’hui elle y est très épanouie. ~ Bavarde et passionnée ; c’est une grande bavarde, elle aime parler, parfois un peu trop mais elle aime surtout parler de ce qui la passionne, c’est-à-dire l’océan, l’eau et tout ce qui se raccroche. ~ Elle sait parler plusieurs langues, l’anglais, l’espagnol, le français (et le breton), le russe aussi ~ Hyperactive, enfantine et souriante ; elle ne s’arrête jamais, une vraie pile électrice, une gamine c’est une vraie gamine, elle adore faire des farces à ses collègues de travail « jouer » avec eux. Et elle a toujours le sourire quoi qu’il arrive ~ Elle a quand même son petit caractère et elle s’affirme bien, disons que tout le monde sait quand elle n’est pas contente, ou énerver, elle sait très bien crier, ses proches vous le confirmerons. ~ Elle est végétalienne, elle ne mange rien qui est pu être vivant auparavant. ~ Le décès de son père la touche encore aujourd’hui, c’est le seul sujet qu’il ne faut pas aborder avec elle. ~ Elle est très intelligente, plus qu’elle ne veut bien le montrer, elle connait énormément de chose de par ses voyages. ~ le matin elle ne boit que du thé naturelle sans sucres ~ elle possède deux chiens, un croisé husky blanc et roux, un croisé berger australien, nommé respectivement Hanaya et Héole, trois chats, elle l’est avait recueilli de tout petit trouvé dans la rue, Lucky, Berlioz, Percy et un gris du gabon, apprivoisé et qui parle un peu, nommé Pépito. Et chose que tout le monde se demande, c’est pourquoi n’a-t-elle pas d’aquarium chez elle ? C’est très simple elle ne veut pas en avoir, elle dit qu’elle a son aquarium chaque jour ~

Cara Andre-Devidson & Eol Devidson ;

Nous nous sommes rencontrés au collège pour tout vous dire. On s’est de suite aimé. On pensait au début que notre amour serait qu’un passage. Aucun de nous deux ne croyait à l’amour vrai comme ça. Mais les années ont passés et nous étions toujours ensemble. Alors que nous atteignons nos dix-huit ans, nous avons eu notre premier enfant, Caleb, ce fut notre bonheur. Quand notre fils a eu six ans, nous avons pris la décision d’arrêter toutes nos études. On s’est acheté un beau bateau. Nous en payons encore le crédit d’ailleurs. Et nous sommes partis comme ça en mer. Notre passion étant l’océan et tous ce qui pourrait s’y trouver, y vivre. Et visiter le monde comme ça. Nous arrêtés comme ça dans des contrés, y rester quelques jours ou semaine et repartir vers l’océan. Puis nous avons eu notre second enfant, Ophélia, notre petite fille. Elle était si belle. Notre seconde fierté. Et avec elle et notre premier fils nous continuions nos voyages, notre navigation. Trois ans après, notre troisième enfant a vu le jour, Ed, comme pour la naissance de notre fille nous nous sommes arrêté plusieurs semaine sur la terre ferme, afin de le mettre au monde en toute sécurité et correctement puis le temps de reprendre de la fatigue qui suivit l’accouchement. Et évidemment après nous avons repris nos droits sur l’océan. Apprenant à nos enfants le respect de la nature. Le respect des autres. Des autres cultures, traditions et populations. Eduquant nos enfants avec des valeurs encrées dans l’océan et la terre. Essayant de faire d’eux des personnes bien et respectueux, responsable, ambitieux. Ils n’ont jamais mis un seul pied dans une école. Nous avons pris la décision de leur donner les cours par nous-même. Et nous pensons que ça a très bien marché.

« MAMAN ! ». La mère de la brunette se retourne et sourit face à ce regard de poupée que sa fille lui offre. « Aujourd’hui on va s’arrêter où ? ». Sa mère ouvre la bouche pour répondre. Mais Caleb prend la parole à sa place « On va dans un endroit où y aura plein de cannibale et de zombie ! ». Le regard réprobateur. « CALEB ! Ne dit pas ce genre de chose à ta sœur !! …. Ecoute pas ton frère ma chérie, on va s’arrêter plusieurs semaine en Ecosse ! ». Les lèvres de la petite fille s’étirèrent. Et elle tira la langue à son grand frère. « T’as vue y aura pas de cannibale ou de zombie ! Menteur et méchant ! ». Néanmoins Caleb attendrit devant sa petite sœur, sourit et embrasse sa petite sœur sur le front. « Tu sais que je t’aime petite sœur ! ».


« Où tu vas petite sœur ? ». La belle Ophélia fronce les sourcils. Elle qui voulait quitter le bateau à quai discrètement pendant que tout le monde dormait. C’était loupé. « Faut que j’aille faire pipi ! ». Nul comme mensonge Ophélia, t’aurais pu trouver mieux hein ! « Mais bien sûr ! Toi tu vas faire pipi en robe, maquillé et coiffé ! ». Un soupir vaincu. « Et toi tu fais quoi dehors et réveillé ? ». Haussement d’épaule de Caleb. « J’arrive pas à dormir c’est tout ! ». Des bruits de pas se firent entendre. Alerte, le frère et la sœur ne bouge plus. Mais quand ils découvrirent le visage de leur petit frère ce fut un soulagement. « Que faites-vous debout vous ? ». « On discute ! Va te rendormir Ed ! ». « Non je suis debout maintenant ! Je reste ! ». Ok ! Pas le choix toute façon. Ophélia abandonne son idée d’aller en ville, rejoindre une fête qui a lieu ce soir même. Elle s’approche de son frère et se calle à côté de lui. « Pourquoi t’arrives pas à dormir ? ». De nouveau haussement d’épaule. Ed vint les rejoindre. Ophélia connaît trop Caleb pour se laisser berner. « Qu’est-ce qui se passe Cal’ ? ». Un soupir. Elle lui laisse le temps. « J’ai réfléchis ! J’en ai marre de ne pas avoir d’attache, ou du moins de m’attacher à des gens et de devoir repartir ensuite. J’ai envie de me poser. D’être de quelque part. Ne pas dire aux gens, quand il me demande d’où je viens, que je viens de de partout. J’ai envie d’avoir une copine, de me poser avec elle, de fonder ma famille sur la terre ferme. J’ai juste envie d’abandonner le navire … ». Ophélia, le comprend. Elle a eu aussi envie de quitter le navire. Mais elle s’était rendu compte qu’elle aimait trop cette vie, pour l’abandonner. Mais elle comprenait son frère. « Part ! Cal’ fait ta vie ! Va rejoindre cette fille avec qui je t’ai vu hier ! Cette jolie blonde là ! Va la rejoindre ! Demain on reprend la navigation ! Tu n’auras peut-être pas, surement pas, la chance de revenir ! Je n’ai peut-être à cet instant que dix-sept ans, mais je te comprends et je ne veux que ton bonheur même si tu vas me manquer affreusement ! ». « Je suis d’accord avec elle ! ». Un câlin généralement. Et le lendemain Caleb n’était plus abord. Une simple lettre posée sur la table, informant de sa décision. Lorsque la mère de ce petite troupe voulu partir à la recherche de Caleb. Ophélia l’en empêcha. « Laisse le maman, il a vingt-trois ans ! Il a le droit de faire sa vie ! ». Et le chemin se poursuivit sans Caleb.

Sirius ;

J’ai rencontré ma Ophélia il y a maintenant quatre ans. Au départ ce n’était qu’une amourette de vacance disons comme ça, étant donné qu’elle devait repartir ensuite vers l’océan. On pensait tous les deux, que notre relation serait ‘sans lendemain’. Mais après plusieurs semaines nous sommes vraiment tombés amoureux. On ne pouvait plus être l’un sans l’autre. J’avais vingt-trois ans et elle vingt-deux ans. Elle a pris la décision de quitter sa famille, le navire, comme son frère quelques années plus tôt. Elle était en âge de prendre sa vie en main. De ne plus laissé ses parents prendre les décisions pour elle. Son petit frère Ed a d’ailleurs lui aussi décidé en même qu’elle de partir. Laissant leurs parents seuls. Bref. Ophélia et moi, c’est une grande histoire. Parfois on se jette, c’est vrai, quand on se dispute s’est hard. Elle a un sacré caractère cette gazelle. Mais on se réconcilie toujours. Il y a six mois on a emménagé à Sydney, on débarque à peine. Mais on sait que c’est l’endroit qu’il nous faut. Même si nous notons quelques trucs un peu bizarres. Nous ignorons ce qui se passe exactement ici. Ophélia et moi on a eu notre diplôme de soigneur. Et arrivé ici elle a trouvé un job à l’aquarium tout comme moi. Elle est heureuse et je le suis aussi. C’est tout ce qui compte, qu’elle soit heureuse. Je ne supporterais pas qu’elle soit malheureuse.

Elle était là, immobile devant cette vitre si épaisse. Elle voyait tous ses animaux nager. Un mélange de plusieurs espèces, comme en plein océan. Elle aimait ça. Ça lui rappelait sa vie. Son enfance. Ses meilleurs souvenirs. Attention elle était heureuse de sa décision. Mais parfois il est vrai que ça lui manquait. De n’être plus une nomade. Elle était fascinée par cette vision. « Ophélia ? ». Elle sortit de ses pensées. « Pardon j’étais dans mes pensées. ». « J’ai vue ça ! ». Elle suivit son copain. Et reprit ses pensées normalement. Elle adorait faire des farces à ses collègues. Personne ne s’ennuyé ici en tout cas en sa compagnie.

« Daywne ? Tu peux venir m’aider, j’ai un souci ! ». Ce dernier arriva. « Que t’arrive-t-il ? ». « Ben là regarde, l’eau elle sort pas du robinet. ». Il s’approcha. Regarda quelques trucs. Juste avant que l’eau lui saute à la figure. Trempé. Il était trempé c’était le seul mot compatible. Elle, elle était morte de rire. « Très drôle Ophé ! ». Mais lui aussi ne pouvait s’empêcher de rire. Elle alla au robinet et en deux trois mouvements, c’était réparé. Et elle était pleine de crasse comme ça. Le poisson aussi elle aimait bien, ça les gens aimaient moyennement. Elle trouvait toujours de quoi faire le clown et faire rire. Et rire elle-même. Elle était heureuse et épanouit et c’est ce qu’elle voulait. Depuis deux semaines elle sait qu’elle est enceinte de douze semaines et demie, mais pour l’instant personne ne le sait. Elle le garde pour elle.


Il y a quelques jours en revenant du boulot. En rentrant dans la maison. Elle découvrit, une allée de rose rouge. C’était magnifique à voir. En avançant de plus en plus. Elle découvrit une table sublime. Un dîner aux chandelles. C’était si romantique et adorable. Sirius avait cuisiné pour elle. C’était si chou. Elle l’embrassa fougueusement. Le dîner se déroulant dans une ambiance romantique à souhait. Le dessert n’eut pas le temps d’arriver. Qu’ils étaient déjà dans leur chambre. Fusionnant pour n’être plus qu’un. Après alors qu’Ophélia calé dans les bras de l’homme qu’elle aimait, était en train de s’endormir, il brisa le silence. « Épouse-moi Ophé ! ». Elle le regarda. Les yeux écarquillés de surprise. « Je suis sérieux Ophélia, devient ma femme ! ». Elle resta silencieuse. Elle avait toujours eu peur de se caser avec un homme. Et avec la nouvelle qu’elle était enceinte, mais Sirius ne le savait pas. Elle ignorait quoi lui répondre. « Je t’aime plus que tout au monde Sirius ! Mais laisse-moi y réfléchir tu veux ?! Là j’ai sommeille. ». Elle ferma les yeux et se recroquevilla contre lui. Alors qu’il se mit à lui caresser les cheveux. « Ok princesse ! ». Mais elle le savait déçu et peut-être même attristé. Elle s’endormit comme ça.